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Les oiseaux de l'Ecopôle

On dénombre 231 espèces d’oiseaux sur le site de l’Ecopôle. Parmi elles :

  Le Milan noir

  • Nom latin : Milvus migrans
  • A quoi ressemble-t-il ? Le Milan noir se caractérise par sa queue faiblement échancrée et sa coloration très sombre. Il est reconnaissable à son allure lorsqu’il vole car sa queue à la forme d’un triangle. Attention, à ne pas confondre avec le Milan royal qui a la queue en forme de V bien échancré et au plumage roux.
  • Que mange-t-il ? Pas très bon chasseur, mais capable de faire des acrobaties aériennes spectaculaires pour trouver sa nourriture. Le milan noir se nourrit de petits mammifères, de poissons, et d’animaux morts.
  • Reproduction et cycle de vie : Le milan noir construit son aire dans les grands arbres, surtout dans les bois riverains des lacs, en colonies de plusieurs couples. Fin avril, la femelle pond 2 à 3 œufs dont l’incubation dure 32 jours. Elle ne quitte pas le nid tandis que le mâle est chargé du ravitaillement. Les juvéniles s’envolent au bout de 6 semaines.
  • Longévité : 20 ans, 23 ans maximum.
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Dans la foret alluviale.
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? D’avril à septembre.
  • Protection: Il est protégé sur le territoire français depuis 1981. Il est donc interdit de le tuer, le mutiler, le capturer ou l’enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu. Qu’il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l’utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l’acheter.
Crédit photo. D. Zorn

Pour écouter le cri du Milan Noir

Crédit photo: A. Devernoix

Pour écouter le cri de la Sterne Pierregarin

  La Sterne Pierregarin

  • Nom latin : Sterna hirundo
  • A quoi ressemble-t-elle ? Elle est reconnaissable à son vol rapide et gracieux.  Parfois appelées hirondelles de mer, elles ont la tête couverte d’une calotte noire tandis que le reste de leur plumage est blanc et cendré, comme les mouettes, et le bec rouge-orangé à pointe noire.
  • Que mange-t-elle ? Pour se nourrir, la Sterne pierregarin repère les bancs de poissons et se positionne au-dessus en faisant un vol stationnaire de quelques secondes puis plonge en piqué pour saisir sa proie. 
  • Reproduction et cycle de vie : Elle niche en colonies ou en couples isolés. Le nid est établi au sol. La femelle pond 2 ou 3 œufs. L’incubation dure entre 22 et 26 jours. Les jeunes restent au nid pendant un peu plus de trois semaines. Ainsi, 3 radeaux flottants ont été installé en 2019 sur le site pour favoriser sa nidification.
  • Longévité : 25 ans
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Proche des étangs
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? D’avril à septembre
  • Protection : Elle bénéficie d’une protection totale en Europe et en France depuis 1981. Il est donc interdit de la détruire, la mutiler, la capturer ou l’enlever, de la perturber intentionnellement ou de la naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu’elle soit vivante ou morte, il est aussi interdit de la transporter, colporter, de l’utiliser, de la détenir, de la vendre ou de l’acheter.

  Le Grèbe huppé

  • Nom latinPodiceps cristatus
  • A quoi ressemble-t-il ? C’est le plus grand de tous les grèbes. Oiseau aquatique qui présente une calotte noire, courte en saison hivernale. Le dos est sombre et les flancs présentent des reflets roux. La poitrine, la gorge, la face et le ventre sont blancs en toute saison, ce qui le distingue du grèbe jougris. Le cou majoritairement blanc est long et fin, le bec rosé long et pointu en forme de poignard. Ses pattes sombres ont des orteils lobés, comme chez tous les grèbes.
  • Que mange-t-il ? Comme tous les grèbes, il plonge pour se nourrir principalement de petits poissons. Il mange également des insectes, larves et crustacés, des mollusques et même des grenouilles. Les jeunes sont nourris sur le dos de leurs parents.
  • Reproduction et cycle de vie : Le nid est généralement un radeau fait de plantes aquatiques. La femelle pond de 3 à 9 œufs. L’incubation dure entre 27 et 29 jours. Les jeunes deviennent indépendants à 71 ou 79 jours.
  • Longévité : 10 à 15 ans
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Dans les plans d’eau
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? Toute l’année.
  • Protection : Espèce considérée comme sécurisée depuis 1994. Il bénéficie cependant d’une protection totale sur le territoire français depuis 1981. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l’enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu’il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l’utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l’acheter.

  La Grande Aigrette

  • Nom latinCasmerodius albus
  • A quoi ressemble-t-elle ? Elle est reconnaissable à son plumage blanc et est  plus grand que tous les hérons et aigrettes présents en Europe. Elle mesure de 80 à 104 cm et a une envergure de 140 à 170 cm pour 700 grammes à 1.5km. Ses yeux sont jaunes avec une pupille noire.
  • Que mange-t-elle ? La grande aigrette se nourrit d’insectes, d’invertébrés aquatiques et terrestres, de poissons et de petits mammifères mais aussi de reptiles.
  • Reproduction et cycle de vie : La femelle pond 4 ou 5 œufs. L’incubation dure de 23 à 26 jours.
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Elle apprécie les zones humides boisées. Elle niche dans les arbres et roselières.
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? De septembre à avril
  • Protection : Elle bénéficie d’une protection totale en Europe et en France depuis 1981. Il est donc interdit de la détruire, la mutiler, la capturer ou l’enlever, de la perturber intentionnellement ou de la naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu’elle soit vivante ou morte, il est aussi interdit de la transporter, colporter, de l’utiliser, de la détenir, de la vendre ou de l’acheter.

  Le Guêpier d’Europe

  • Nom latinMerops apiaster
  • A quoi ressemble-t-il ? Considéré par certains comme un aménageur de l’éco-sytème, il mesure 28 cm pour une masse moyenne de 60 g et une envergure de 45 à 50 cm. Ses couleurs aux reflets métalliques sont composées de bleu-vert turquoise au ventre, au poitrail et au bas des ailes, vert sombre de la queue, noir du bec légèrement incurvé, iris rouge dans un œil noir jaune bordé de noir pour la bavette.
  • Que mange-t-il ? Comme son nom l’indique, il se nourrit de guêpes, abeilles, frelons. Il consomme aussi d’autres insectes, papillons, criquets, sauterelles, mouches, libellules etc… qu’il chasse en général au vol à la manière des hirondelles.
  • Reproduction et cycle de vie : La femelle pond environ 5 œufs. Les deux partenaires se partagent la couvaison qui dure trois semaines. L’incubation dure entre 27 et 29 jours. Il niche dans des terriers en colonie.
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Dans les berges sablonneuses des cours d’eau, les falaises d’éboulis.  Il vit souvent en colonies et aime se percher avec ses congénères sur les branches saillantes, les fils électriques et les poteaux. 
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? D’avril à octobre

  Le Martin-pêcheur d’Europe

  • Nom latin : Alcedo atthis
  • A quoi ressemble-t-il ? Il est reconnaissable à sa livrée brillante et très colorée (bleue sur le dessus, rousse et blanche en dessous), son bec est long et fin, son corps trapu et petit. Le mâle se différencie de la femelle par son bec presque tout noir, la femelle a la mandibule orange tout comme ses pattes. Il mesure environ 16 cm pour 40 g et a une envergure de 27 cm. Cet oiseau est un bon indicateur naturel de la qualité d’un milieu aquatique.
  • Que mange-t-il ? Il se nourrit d’insectes, de larves aquatiques, de petits poissons, de têtards, de grenouilles mollusques et crustacés.
  • Reproduction et cycle de vie : La femelle pond 7 à 8 œufs en avril/mai qu’elle couve pendant trois semaines. Il niche dans des terriers creusés.
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Il vit à proximité des étangs. Il apprécie également les falaises.
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? Toute l’année même s’il redoute les hivers rudes, ce n’est pas un migrateur.
  • Protection : Il bénéficie d’une protection totale en Europe et en France depuis 1981. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l’enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu’il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l’utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l’acheter.

  Le Fuligule milouin

  • Nom latinAythya ferina
  • A quoi ressemble-t-il ? Espèce de canard plongeur, il mesure entre 40 et 50 cm pour près d’1kg. Le mâle a un plumage gris très clair encadré de noir à la poitrine et à l’arrière. Le cou et la tête sont rouges éclatants. Ses yeux sont rouges orangés et a les pattes grises. La femelle a un plumage plus foncé.
  • Que mange-t-il ? Il se nourrit surtout de graines, de feuilles, de plantes aquatiques, petits poissons, crustacés et mollusques.
  • Reproduction et cycle de vie : Ponte en mai de 6 à 12 œufs gris verdâtre couvés par la femelle 25 jours durant. Le mâle surveille le site et la prévient des dangers.
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Dans les roselières et plan d’eau
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? Potentiellement toute l’année.

  Le Pygargue à queue blanche

  • Nom latin : Haliaeetus albicilla
  • A quoi ressemble-t-il ? Il mesure environ 80 cm à 1m pour une envergure de 2m à 2m40 et pèse 4 kg pour le mâle et 6kg pour la femelle.
    On le reconnaît à sa tête et poitrine brun-clair à gris-jaune, dessous brun foncé, dessus brun plus clair, son gros bec jaune et évidemment comme son nom l’indique sa queue blanche et cunéiforme. Avec l’âge le cou et la tête s’éclaircissent. Le pygargue est l’un des plus grands rapaces diurnes d’Europe.
  • Que mange-t-il ? Il se nourrit à 90% de poissons. Il consomme aussi des oiseaux (canards ou cygnes, et des mammifères (du campagnol au renard). Il est aussi charognard. Sa technique de chasse est similaire à tous les pygargues et aigles pêcheurs. Quand l’eau est calme, il rase la surface et en projetant ses serres vers l’avant, il saisit sa proie. Il est inépuisable, aussi il poursuit ses proies jusqu’à leur épuisement. 
  • Reproduction et cycle de vie : La femelle pond de 1 à 3 œufs à 2-5 jours d’intervalle, elle couve dès le premier œuf pendant 38 jours environ. Jusqu’à l’âge de 4 semaines, les parents surveillent les poussins en permanence, puis ils partent chasser ensemble. L’envol a lieu à 70 jours et les jeunes restent encore une vingtaine de jours auprès des adultes. Ils s’éloignent définitivement de l’aire à l’âge de 6 mois.
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Il fréquente les falaises, les forêts bordées d’eau.
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? Toute l’année sauf l’hiver
  • Protection : Il bénéficie d’une protection totale en Europe et en France depuis 1981. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l’enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu’il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l’utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l’acheter.

  Les Oiseaux de l’Ecopôle du Val d’Allier

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Les abeilles

Essentielle à notre survie, la pollinisation par les abeilles est d’une importance capitale. Grâce à elles, nous pouvons consommer des aliments riches en vitamines et profiter des fleurs. Sans elles, notre monde serait moins varié et moins coloré. Les abeilles contribuent de manière essentielle à notre qualité de vie.

1/3 des aliments que nous consommons sont tributaires des abeilles. Mais le rôle crucial des abeilles ne se limite pas uniquement à l’agriculture !

Les abeilles pollinisent de nombreuses plantes sauvages, contribuant ainsi à maintenir la variété naturelle de tout l’écosystème. Les plantes constituent la base de l’existence, la nourriture et l’espace de vie de nombreux autres animaux, mais aussi des êtres humains. De ce fait, les abeilles ne sont pas un choix. Nous avons besoin d’elles !

C’est pourquoi l’Ecopôle souhaite renforcer la présence des abeilles sur le site et protéger leur existence. Ainsi le SEAT a autorisé Pierre Cassar, un apiculteur à s’installer sur le site depuis avril 2018 avec une dizaine de ruches. Pierre est un apiculteur amateur et produit du miel et des produits dérivés tel que du pain d’épices par exemple.

Plusieurs animations pédagogiques ont également été travaillées avec l’association APISTORIA

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6 gestes simples pour aider les abeilles

Comme vous le savez, les abeilles sont menacées du syndrome d’effondrement, c’est-à-dire de disparition ! Sans elles, certains prédisent la fin du monde !

Une catastrophe potentielle que chacun peut modestement contribuer à repousser par de petits gestes simples !

On vous en liste 6: nous sommes preneurs d’autres idées 😉

  • Consommez plus de miel: achetez du miel près de chez vous pour soutenir les apiculteurs. D’autant plus que le miel est doté d’incroyables vertus: antiseptique, cicatrisant et tonifiant.
  • Plantez un jardin favorables aux insectes pollinisateurs. Si vous disposez d’un jardin, d’un balcon ou de petits pots, plantez autour de vous, de préférence des graines bio de fleurs variées dites « mellifères ». Aussi, ne coupez pas trop à ras le gazon, laissez les fleurs se développer ! -> Signez la pétition: https://nousvoulonsdescoquelicots.org/l-appel/
  • Aménagez un point d’eau: les abeilles ont besoin, pour prospérer, d’une source fraiche près de leur ruche, elle leur sert à diluer leur miel qui nourrit les larves mais aussi à rafraîchir la ruche.
  • SUS aux pesticides dans le jardin !
  • Hébergez des abeilles: construisez un abri pour les abeilles sauvages. Cet abri sera le bienvenu à l’arrivée de l’hiver !
  • Parrainez une ruche : certains sites comme « untoitpourlesabeilles.fr » permettent de s’associer à plusieurs pour parrainer une ruche. Votre nom sera inscrit sur la ruche, les pots de miel, ainsi que sur le site internet 😉 sauf avis contraire de votre part bien sûr ! En retour, les abeilles vous remercient en vous envoyant des pots de miel 😉
  • Aidez à la lutte contre les frelons asiatiques: si vous constatez la présence de nids, n’intervenez pas seul. Appelez la mairie de votre commune pour le signaler.
Ruches sur l'Ecopôle - SEAT
©A. Amanta
Pixabay
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Les autres espèces

  Le crapaud calamite

  • Nom latin : Epidalea calamita
  • Rareté et protection : Non menacé
  • A quoi ressemble-t-il ?  Le crapaud calamite ou crapaud des joncs est une espèce d’amphibien qui se rencontre en Europe. Le mâle mesure de 40 à 70 mm, la femelle de 50 à 80mm. Il se distingue essentiellement par une ligne médiane jaune ornant son dos. Toutefois, celle-ci peut-être discontinue, voire absente. Dos verdâtre généralement parcouru par une mince ligne jaune de la tête au cloaque. Pupille horizontale et iris jaune-vert grisâtre. Ses pattes sont relativement courte, surtout celles de derrière. Mâle avec un seul sac vocal très proéminent.
  • Que mange-t-il ? Des insectes (papillons, libellules, criquets…), des crustacés, des gastéropodes (escargots).
  • Reproduction et cycle de vie : Longue période de reproduction de fin mars à septembre, actif notamment après les orages en été, déserte son site de reproduction dès lors qu’il se végétalise. Ponte en chapelets, en eau peu profonde, déposés à même le fond.
  • Habitat: Il vit en plaine et en moyenne montagne, dans les habitats sablonneux et ensoleillés. On le trouve dans une végétation ouverte assez rase, alternant avec des sols nus : sables littoraux, zones de graviers et de galets, pelouses, prés salés, landes éparses à bruyères et à genêts, affleurements rocheux, lisières forestières. Il vit aussi dans les milieux créés par l’Homme : carrières, gravières, parcs urbains, friches, ruines, murets etc.
  • Longévité : 15 ans
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Dans les roselières, hauts fonds et les mares temporaires
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? De mars à octobre

A savoir: tous les amphibiens sont strictement protégés !

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  Le Cuivré des marais

  • Nom latin : Lycaena dispar
  • Rareté et protection : Protégé en Europe et en France
  • A quoi ressemble-t-il ?  Petit papillon, le dessus du mâle est cuivré avec une étroite bordure marron et à la partie postérieure des ailes postérieures une suffusion marron. Les ailes antérieures du dessus de la femelle sont cuivre avec une large bordure marron et ornées de grosses taches marron formant une ligne et les ailes postérieures sont marron avec une bande submarginale orange.
  • Que mange-t-il ? Le nectar des fleurs
  • Reproduction et cycle de vie : Les œufs d’une couleur gris clair caractéristique, sont pondus sur les feuilles des plantes hôtes (Rumex). Leur incubation dure 5 à 16 jours. La jeune chenille, petite et trapue, possède une tête rétractile marron et un corps de couleur vert vif couvert de points blancs avec une bande dorsale et des stries latérales vertes peu marquées. Au second stade elles sont de couleur rosâtre.
  • Longévité : 1 an
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Sur les berges et les prairies humides
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? De juin à juillet

  La grenouille verte

  • Nom latin : Pelophylax lessonae
  • Rareté et protection : Non menacée
  • A quoi ressemble-t-elle ?  Pupille ovale horizontale et iris noir et or, ligne dorsale verte et bourrelets latéraux-dorsaux marqués, dos vert avec tâches foncées, sacs vocaux latéraux blanchâtres, 8-15 cm
  • Que mange-t-elle ? Des insectes (papillons, libellules, criquets…), des crustacés, des mollusques, des poissons
  • Reproduction et cycle de vie : Reproduction : tardive (≈mai) par rapport à la grenouille rousse, ponte : masses gélatineuses denses, souvent groupées, non accrochées à un support et déposées dans l’eau peu profonde
  • Longévité : 6 à 10 ans
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Dans les roselières, les hauts fonds, les étangs, les mares temporaires
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? Toute l’année

A savoir: tous les amphibiens sont strictement protégés !

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C. Giraud

  Orthetrum reticule

  • Nom latin : Orthetrum cancellatum
  • Rareté et protection : non menacé
  • A quoi ressemble-t-il ? C’est une libellule à l’abdomen bleu, jaune ou noir ne possédant pas de tâche noire à la base des ailes. 
  • Que mange-t-il ? La larve mange des insectes aquatiques et les adultes mangent des insectes volants.
  • Où peut-on l’observer sur le site ? Dans les étangs, les zones steppiques et dans les mares temporaires
  • Quand peut-on l’observer sur le site ? De mai à octobre